En 2016, à travers mes lectures et recherches, j’ai réalisé que certaines croyances limitantes pouvaient fragiliser la santé mentale et physique d’un individu.

En explorant certaines pensées négatives, j’ai compris que des règles nutritionnelles strictes pouvaient rapidement devenir des injonctions culpabilisantes. En effet, diaboliser les aliments riches en valeur énergétiques, pouvait engendrer des émotions de peur, d’angoisse, de honte chez les consommateurs en restriction cognitive, favorisant ainsi des comportements alimentaires compulsifs.

Cette prise de conscience m’a fait changer de perspective : ce n’était pas tant l’aliment en lui-même, mais la relation que nous entretenions avec l’aliment qui influençait notre comportement. Comme l’a si bien dit Claude Lévi-Strauss : « Il ne suffit pas qu’un aliment soit bon à manger, encore faut-il qu’il soit bon à penser ».

Convaincue de l’importance de la santé globale, après avoir obtenu un BSc en nutrition humaine et un MSc en nutrition publique internationale, j’ai décidé de poursuivre mes études. J’ai approfondi mes connaissances dans les approches bio-psycho-corporelles.

Aujourd’hui, je m’appuie sur mes formations en France et à l’étranger pour transmettre des outils thérapeutiques visant à permettre aux individus de retrouver une alimentation libre de toute culpabilité. Mes connaissances s’appuient sur les approches du G.R.O.S., des dix principes de l’Alimentation Intuitive d’Evelyn Tribole et Elyse Resch, ainsi que la M.E.C.L. et la Sophrologie.